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La nature humaine

À cause de ses sentiments, l'être humain vit dans sa nature animale.

On se targue, sur la Terre, de nos hautes technologiques, de nos percées scientifiques, alors qu’il ne se passe pas grand-chose de réellement évolutif à l’intérieur de l’être humain pour contrer sa nature animale.

L’être humain peine à dépasser la période de l’involution ou de son inconscience, si bien que s’il se mettait, ne serait-ce qu’un instant, à la place des intelligences universelles, il serait étonné de voir comment elles le perçoivent.

Il n’a probablement pas envie, ni intérêt à le savoir.

Au contraire, cela lui permettrait de mieux comprendre la façon dont il fonctionne.

Alors, comment est-ce qu’elles le perçoivent ?

Comme un animal à cinq pattes qui regarde toujours vers le sol.

Ça fait penser au tatou. Leur vision n’est pas très flatteuse.

Heureusement pour lui, depuis quelques décennies, la lumière, qui a commencé à faire valoir ses droits sur la Terre, lui enlève ces pattes.

À quoi correspondent ces pattes ?

À la croyance, à la foi, au sentiment, à la mémoire et à la crainte.

N’est-ce pas un peu tout lié ça ?

En effet, la croyance, la foi et le sentiment sont liés à la crainte.

Et la mémoire ?

Elle entretient le tout.

La foi et la croyance vont demander encore beaucoup de temps pour s’en émanciper, alors que dire des sentiments et de la mémoire.

Peu importe le temps, l’essentiel est qu’en finalité la mémoire, la crainte, la croyance, la foi et le sentiment disparaissent pour que chacun puisse être dans l’intelligence de son esprit.

Parmi toutes ces pattes, pour laquelle, en particulier, l’être humain est-il peu considéré dans l’univers ?

Celle du sentiment. Les intelligences universelles estiment qu’il lui enlève sa nature humaine.

Et dire qu’aujourd’hui le sentiment est développé à l’extrême ! Heureusement qu'il a tout de même permis de développer de grandes qualités humaines.

Oui, mais qui résultent de la transformation et non de la transmutation du corps astral ou corps de désirs. Qu’il soit haut ou bas, le sentiment relève toujours de la nature inférieure et fait de l’humain un être inférieur à celui de demain, soit à celui qui aura muté. Pour être reconnue comme une civilisation qui évolue, il faut que tout ce qui est de l’ordre du sentiment, qui appartient à la mémoire animale, soit complètement éliminé.

Force est d'admettre, vu l'état dans lequel elle se trouve aujourd'hui, que l'humanité n'est probablement pas très avancée par rapport aux autres civilisations de l'univers. Dans ce cas, il est temps, pour chacun de nous, d’aborder le sentiment d’une autre façon si l’on veut réellement évoluer, afin d'être au moins considérés comme des êtres en évolution de conscience, à défaut d'êtres conscients et évolués.