J’ai de multiples passions : les sorties avec les amis, la danse, les voyages. Et d’autres comme la couture, le tricot, le dessin, la peinture.
Tes passions servent à combler un vide intérieur.
Elles m’apprennent le plaisir de la vie et de mon esprit. Je ne sais pas ce que je ferais sans mes passions.
Tu as raison, ta vie c’est ça !
Alors, tout est parfait.
Ton vide reste vide.
Il n’y a plus de vide, puisqu’il est comblé par mes passions.
Momentanément et imparfaitement.
En fait, tu n’es qu’une rabat-joie !
Tu peux continuer de vivre dans cette condition limitée de toi-même, si tu le veux.
Ou bien ?
Ou réaliser qu’il y a en toi un niveau supérieur d’intelligence libre de tes passions.
Faut pas rêver, sans mes passions, je n’aurais pas l’impression de vivre.
Tu ne vis pas, tu ne fais que vibrer émotivement ou intellectuellement.
Il faut bien admettre que je suis obligée de maintenir mes passions ou d’en chercher de nouvelles quand elles s’estompent pour avoir l’impression de bien vivre ma vie. J’espère découvrir à travers elles, quelque chose d’authentique, de réel en moi qui me permettra de m’épanouir complètement. Je veille à la qualité de mes passions, car ce sont elles qui déterminent si ma vie est bien ou mal vécue.
Plus tu te passionnes, plus tu t’éloignes de toi-même.
Ce n’est pas ce que je veux.
Dans ce cas, réponds aux règles d’une vie plus consciente qui te forceront à te libérer de la nécessité de vivre passionnément pour vivre réellement, c’est-à-dire sans le support psychologique d’une conscience émotive ou intellectuelle.