L’être qui veut connaître la vie à l’échelle de sa réalité et découvrir son propre potentiel se sépare émotivement de la société moderne et de tout ce qui la constitue.
L’être qui se conscientise se libère de l’égrégore mondial en étudiant la nouvelle science de la vie. C’est ainsi que tout le connu est fracturé par sa propre lumière et qu’il est libéré de tout ce qui freine son évolution.
Si le connu ne lui sert plus, qu’est-ce qui devient le plus important pour lui ?
C’est l’énergie de son mental supérieur qui n’a rien à voir avec son intellect conditionné par l’égrégore mondial.
Et si ce nouveau centre d’énergie mentale n’est pas encore ouvert chez une personne ?
Dans ce cas, elle manque de sécurité pour passer à travers les voiles de la connaissance planétaire et elle demeure englobée par la masse psychique mondiale.
Qu’est-ce qui change intérieurement chez un être qui en est libre ?
Par exemple, il rêve psychiquement.
Ça veut dire quoi ?
Il assiste consciemment ses rêves au lieu de n’en vivre ou subir que des facettes se rapportant à sa vie psychologique ou à son intellect.
Ses nuits sont-elles plus intéressantes ?
Oui, car le rêve devient de plus en plus conscient.
Alors ses journées également.
Oui, car il est en conscience de façon permanente, ce qui lui permet de convertir sa vie en situations créatives.
La libération de l’égrégore mondial est-il un grand défi à relever ?
Oui, puisque chaque individu est composé de la mémoire humaine involutive et non de l’avenir ou de l’évolution.
Autrement dit, se libérer de l’égrégore mondial équivaut à franchir les murs de l’inconscience.
Oui, et c’est le seul moyen de comprendre les lois du monde de la mort et les mécanismes de l’égrégore mondial. La vie ne doit pas se limiter à l’existence terrestre et au retour à la mort ; elle doit aller bien au-delà.
Et pour y aller, il est nécessaire de comprendre l’instruction fournie par la nouvelle science de la vie.
Oui, car c’est une fois armé d’une profonde connaissance de la réalité que le contact entre cette science et le mental inférieur fait éclater les formes anciennes de la conscience humaine involutive.
En quelque sorte, ce contact est comme un allume-feu.
Oui, et c’est le feu qui brûle l’égrégore mondial et ses effets néfastes sur sa conscience.
Et toutes ses mémoires ?
En effet, puisqu’elles font partie de la masse psychique mondiale.
La vie est beaucoup plus vaste qu’on ne se l’imagine. On ne peut pas rester éternellement confiné dans une conscience conditionnée par l’égrégore mondial et par ce que nos sens nous apportent. Un nouveau centre s’ouvre chez toute personne qui étudie la nouvelle science de la vie et c’est ainsi qu’elle réalise que la vie réelle va bien au-delà de la vie et de la mort.